30/04/2010
Thémat'IC 2010
Les ressorts de l'ascension sociale : Quelles mobilités ?
Les 29 et 30 avril 2010, à l'IUT Robert Schuman Strasbourg-Illkirch
Dans le cadre de sa mission « Réussite et ascenseur social », l'IUT Robert Schuman de l'Université de Strasbourg organise des journées d'études « Les ressorts de l'ascension sociale : Quelles mobilités ? », et souhaite ainsi initier une réflexion sur les conditions de la réussite des étudiants. À partir des études réalisées pour une meilleure connaissance des publics étudiants concernés et des initiatives menées en leur faveur, cette réflexion utilisera comme cadre et support au développement de ses travaux, la recherche produite aujourd'hui en sociologie et en sciences de l'éducation.
La mobilité sociale qui tient une place importante en sociologie, se situe au carrefour de plusieurs domaines d'étude : les classes sociales, les inégalités sociales, les changements sociaux et les transformations économiques. Sujet troublant et fascinant pour nombre de sociologues (Merllié et Prévot, 1991), son analyse s'appuie sur de multiples grilles de lecture et fait, encore maintenant, l'objet de controverses (Bertaux, 1985 ; Merllié, 1994 ; Chauvel, 1998 ; Bihr et Pfefferkorn, 2008). Au cœur de la réflexion sur la mobilité, l'enjeu de l'éducation s'avère plus pressant aujourd'hui au regard des incertitudes liées à l' « avenir » qui affectent les conceptions que nous avions du système éducatif, du diplôme, de la formation, de la « réussite » et des valeurs qui y étaient associées. Il paraît donc opportun de réintégrer notre questionnement de la « réussite » dans une réflexion plus vaste sur la mobilité, les enjeux de l'offre de formation universitaire et les attentes des étudiants.
Dans un premier temps, les conférences nous permettront d'aborder la construction de l'échec (et de son corollaire la « réussite »), les prismes à partir desquels il est examiné, les démarches et outils conçus pour l'appréhender. Ainsi, nous tenterons de comprendre en amont l'échec scolaire dans les bacs professionnels puis les abandons au cours du premier cycle d'université. Nous envisagerons ensuite l'adaptation de l'institution aux pressions sociales, économiques et politiques par une modification du paysage de l'offre qui affecte à la fois les objectifs de l'institution, l'organisation de la production et de la diffusion des savoirs. Cette première phase s'achèvera par une réflexion sur les parcours étudiants et les termes qui caractérisent aujourd'hui le rapport de ces derniers à l'institution universitaire.
Dans un deuxième temps, nous aborderons au travers d'une approche critique les termes d'une mobilité sociale ou d'une reproduction sociale à partir des enseignements qui peuvent être tirés de la lecture des tables de mobilité. Puis, nous tenterons de comprendre les logiques de l'ascension sociale en orientant notre analyse sur les règles du jeu de cette mobilité et sur les conditions actuelles de la conversion du diplôme en emploi. Enfin, il sera proposé une réflexion sur les trajectoires des familles migrantes et de leurs enfants, les représentations qu'elles ont de la « réussite » sur plusieurs générations, le lien qu'elles établissent entre projet migratoire et projet de mobilité sociale ainsi que les moyens mis en œuvre pour y accéder.
Les conférences du matin permettront la mise en perspective des diverses mesures, initiatives et dispositifs destinés à favoriser la réussite des étudiants qui seront présentés et feront l'objet de discussions lors des tables-rondes de l'après-midi.
Première Journée : la réussite des étudiants
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Jean-Luc Dreyfus, Directeur adjoint de l'IUT Robert Schuman, Université de Strasbourg |
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Patricia Caillé, Maîtresse de Conférences, Département Information-Communication, IUT Robert Schuman et chercheur au LISEC, Université de Strasbourg |
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Audrey Mariette, Chercheuse en sociologie, Equipe CSU du CRESPPA (CNRS-Paris 8) |
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Depuis une dizaine d'années, la question de l'abandon (ou arrêt) d'études dans l'enseignement secondaire a été l'objet de plusieurs enquêtes formulées en termes de « décrochage scolaire » et/ou de « déscolarisation ». L'approximation chiffrée du phénomène reste cependant difficile, et ce malgré l'existence d'enquêtes statistiques nationales relatives au devenir des jeunes sortants du système de formation. Qui plus est, la spécificité de l'enseignement professionnel - en particulier du Bac pro - n'est que très rarement prise en compte. Dans le cadre de cette communication, nous proposons de questionner la notion d'« échec scolaire » - et son corollaire, la « réussite scolaire » - à travers les catégories indigènes, institutionnelles et scientifiques qui les accompagnent. L'association souvent établie par et au sein de l'institution scolaire entre « échec », « décrochage » et déscolarisation » doit en effet, selon nous, être interrogée. Nous nous appuierons sur les résultats d'une enquête de terrain réalisée dans le cadre d'une étude commandée par la Direction Générale de l'Enseignement Scolaire (Ministère de l'Éducation Nationale) sur les « causes et conséquences de l'abandon en baccalauréat professionnel ». |
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Nathalie Beaupère, Chargée d'études CAR Céreq Bretagne, Faculté d'économie, Université de Rennes 1 |
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Les sorties sans diplôme de l'université représentent une problématique spécifique de l'enseignement supérieur qui a progressivement émergé au cours des vingt dernières années. Elle est notamment devenue particulièrement prégnante à la fin des années quatre vingt quand est affirmé l'objectif de mener 80% d'une classe d'âge au niveau du baccalauréat. Ces sorties « précoces » de l'enseignement supérieur font aujourd'hui l'objet d'une attention particulière de la part des politiques et des établissements ; elles sont rendues visibles par les statistiques et démontrent, d'une part les limites de l'enseignement supérieur à accompagner l'ensemble des inscrits vers un diplôme et d'autre part les conditions d'insertion professionnelle difficiles de ces jeunes d'un niveau « bac + rien » (Legendre, 2002). Les enquêtes locales et nationales qui permettent de mieux connaître les caractéristiques de ces jeunes mettent en évidence ce que d'aucuns considèrent comme des facteurs de risques, principaux prismes à travers lesquels l'on tente de comprendre et de solutionner ce « problème » (orientation, travail salarié, redoublement, absentéisme, projet professionnel, ...) faisant parfois l'impasse sur la diversité des arbitrages individuels et le processus qui conduisent aujourd'hui un jeune sur cinq à quitter le supérieur sans diplôme (Céreq, Génération 2004). |
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Catherine Agulhon, Maître de Conférences HDR - Université Paris Descartes - Laboratoire Cerlis |
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La création des licences professionnelles a été aussi rapide que suivie avec attention par le Ministère. Ces licences apparaissent comme l'expression d'un changement dans la conception des savoirs universitaires. Elles symbolisent la professionnalisation des formations, conçue comme pragmatique, empirique et en lien étroit avec l'emploi. Ces licences permettent aux IUT (qui hébergent 60% de cette offre) d'entrer dans le LMD, mais elles rompent dans ce cas avec les modes de construction de formations conçues au niveau national et homogènes sur le territoire. Elles correspondent au mode local de construction de l'offre dans les universités, mais elles y restent marginales tant elles sont ancrées dans une adéquation à l'emploi et parce qu'elles recrutent plus souvent des étudiants extérieurs (DUT et BTS). Dans les deux cas, elles recrutent de faibles effectifs sélectionnés qui n'ont, en revanche, pas vocation à poursuivre des études. L'analyse systématique des intitulés des formations, de l'architecture des enseignements et de leurs contenus met en exergue comment la logique compétence et l'emprise des savoir-faire caractérisent cette offre et transforment les relations entre les disciplines et entre savoirs académiques et savoirs professionnels. Enfin, de bons taux d'insertion à l'issue de ces licences sont encore un des arguments avancés pour en faire un modèle pour l'ensemble de l'institution. La généralisation d'une telle offre encore confidentielle abaissera inévitablement ces bons résultats |
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Patrick Rayou, Professeur des Universités, UFR SEPF Université de Paris 8, Laboratoire Circeft-ESCOL |
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Mon propos serait de développer (à partir d'une enquête faite dans le cadre du CNCRE au début des années 2000 sur l'hétérogénéité des étudiants de premier cycle et qui a servi de support au n°136 de la Revue française de Pédagogie) des caractéristiques de l'expérience étudiante qui permettent de comprendre les difficultés rencontrées aujourd'hui par ceux qui ont remplacé les "héritiers" sur les bancs de l'université. Il s'agirait de présenter quelques données sur la place de l'enseignement universitaire dans le post-bac, puis des analyses sur la manière dont les étudiants s'"affilient" ou non à ce monde dont les codes ne leurs sont pas évidents, notamment du point de vue du rapport aux savoirs, à l'étude, à l'évaluation. L'échec de masse lors des premières années universitaires peut ainsi être analysé à travers les malentendus tissés entre les étudiants et l'institution universitaire qui, sans renoncer à ses objectifs de diffusion des savoirs et postures de recherche doit accueillir la fraction d'une génération la moins socialement et scolairement dotée. |
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Jacqueline Igersheim, Vice-présidente déléguée à l'orientation et à l'insertion professionnelle de l'Université de Strasbourg L'orientation active est une démarche de conseil et d'accompagnement des futurs étudiants par des enseignants, des chefs d'établissements et des universités. Elle est organisée en quatre étapes : information, préinscription, conseil et admission. L'orientation active doit permettre aux lycéens de choisir la filière ou la voie qui correspond le mieux à leurs aptitudes et à leurs goûts. |
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A l'université de nombreuses expériences ont déjà été menées dont il doit être possible de dresser le bilan. Les technologies de l'information présentent des atouts intéressants dans l'optimisation des parcours et de l'accompagnement, notamment au travers d'e-portfolios personnels et interactifs. La présentation portera en particulier sur l'expérience du portfolio numérique de compétences mise en place en première année de Licence de chimie, dans le cadre du Plan Réussite. |
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Julien Haristoy, Chef du Département Informatique de l'IUT Robert Schuman Le département Informatique de l'IUT R. Schuman propose depuis plusieurs années les 4 semestres du DUT simultanément à chaque période, dans le but de permettre un redoublement immédiat des étudiants en échec et la réorientation en cours d'année d'étudiants d'autres composantes |
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En avril 2009, le Haut Commissariat aux Solidarités Actives et à la Jeunesse a lancé un appel à projets «expérimentations pour les jeunes », visant à financer et piloter des programmes expérimentaux favorisant l'insertion sociale et professionnelle des jeunes de 16 à 25 ans. Les enseignements tirés, avec l'appui d'une évaluation scientifique, viendront nourrir la réflexion collective sur les moyens de soutenir les politiques de jeunesse. L'AFIJ a été retenue pour son projet, intitulé REBOND, pour les « étudiants décrocheurs » de l'enseignement supérieur, s'inscrivant dans l'Axe 1 : Réduire les sorties prématurées du système de formation initiale, Programme 7 : Accompagnement et insertion professionnelle des étudiants qui décrochent. Le projet s'inscrit dans une approche « curative », complémentaire de l'approche préventive menée au sein des établissements par les services d'orientation. L'objectif de ce projet d'expérimentation est triple : |
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L'objectif de cette table ronde est de mener, à partir de la présentation d'initiatives et de dispositifs destinés à accroitre la réussite des étudiants, une réflexion sur les termes et la conception du rapport des étudiants à la formation qui sous-tendent ces stratégies, à la fois dans un rapport à la discipline, et dans un rapport au métier d'étudiant. Cette table-ronde sera ainsi consacrée à la question de la formation aujourd'hui, examinée à partir de l'interaction des étudiants au sein de l'institution avec les enseignants, les services pédagogiques et administratifs, les pairs. Dans ce cadre, nous aborderons la question des diverses initiatives/innovations pédagogiques (envisagées au niveau individuel, des départements, des composantes et/ou de l'université), les modules de formation à la méthodologie universitaire, l'utilisation des TIC (les ENT), et la façon dont celles-ci affectent le rapport des étudiants à l'institution et à la formation ainsi que le rôle de l'institution dans la formation . |
Deuxième Journée : La mobilité sociale
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Sophie Kennel, Chargée de Mission « Réussite et ascenseur social », IUT Robert Schuman, Université de Strasbourg |
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Louis Mathiot, ATER, Département Information-Communication, IUT Robert Schuman, Laboratoire « Cultures et sociétés en Europe », Université de Strasbourg |
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Roland Pfefferkorn, Professeur des Universités, Laboratoire « Cultures et sociétés en Europe », Université de Strasbourg |
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Qu'en est-il donc de la réalité de la mobilité sociale dans notre société ? Comment mesurer son importance ? Dans quelle mesure et comment les inégalités sociales se reproduisent-elles à travers elle et malgré elle ? Nous reviendrons principalement dans notre communication sur l'instrument d'analyse utilisé le plus souvent pour mesurer la mobilité sociale intergénérationnelle : les tables de mobilité. Nous rappellerons d'abord leurs principales limites, notamment l'oubli des femmes pendant des décennies et les confusions découlant d'une lecture superficielle de ces tables. Dans un second temps nous présenterons les principaux enseignements que l'on peut en tirer, à savoir que l'immobilité l'emporte largement sur la mobilité et, quand mobilité il y a, les trajets courts l'emportent sur les trajets longs. En somme il serait plus judicieux de parler de reproduction sociale plutôt que de mobilité. |
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Daniel Bertaux, Directeur de Recherches au CNRS, Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales, Laboratoire « Cultures et Sociétés en Europe » |
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Dans toute société, même la plus figée, il existe toujours des voies d'ascension sociale. Mais ce ne sont pas du tout les mêmes selon les sociétés et leurs modèles culturels, selon les époques, selon les contextes locaux. Il y aura toujours des familles et des individus plus ambitieux que d'autres, une minorité de stratèges de l'ascension sociale. Mais quels sont aujourd'hui les lieux où ils entrent en concurrence avec d'autres pour l'accès aux voies ascendantes ? Quelles sont les règles, formelles mais surtout informelles ou non-écrites (le piston, l'entregent, la ruse...) de ces jeux de concurrence ? Quels sont les barrières, les blocages, les injustices qui structurent ces lieux et ces jeux ? Pour ce qui est du diplôme scolaire, il n'a jamais été aussi nécessaire, mais jamais aussi peu suffisant ; car il faut ensuite le convertir en emploi, et c'est désormais dans ce moment de conversion que se jouent les destinées professionnelles. A diplôme égal ou équivalent, quels sont les effets prolongés de l'origine sociale, médiatisée par l'argent et les relations sociales "utiles" des parents ? Les filles, scolairement meilleures, ont-elles des chances égales aux garçons ? Un phénotype perçu comme "non européen" constitue-t-il un handicap, et dans quelle mesure discriminante ? Vers où nous entraîne la précarisation généralisée, voulue par les employeurs, du rapport d'un salarié à "son" emploi ? Que valent les autres voies d'ascension que le diplôme : la petite entreprise (en hausse par rapport aux années 70) ; la carrière politique (en hausse ?) ; l'excellence dans un sport, un art, la communication (en forte hausse) ; le mariage (en baisse ?). Quand s'affaiblissent les règles des jeux de concurrence, l'incertitude augmente et avec elle l'anxiété ; et si de surcroît les dés sont pipés, il s'ensuit une dégradation de l'état moral de toute la société. Serait-ce cela qui affecte aujourd'hui l'ensemble de la société française ? |
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Catherine Delcroix, Professeure des Universités, Laboratoire « Cultures et Sociétés en Europe », Université de Strasbourg |
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J'ai effectué des enquêtes approfondies dans diverses régions et villes françaises auprès de familles immigrées qui viennent pour la plupart des anciennes colonies françaises du Maghreb et d'Afrique Noire. Avant même leur départ, elles s'étaient construites une image positive de la société française sur les plans du système scolaire, de santé et du care. Elles sont porteuses de fortes attentes à leur égard et surtout par rapport à leurs enfants. En effet, pour ces familles, c'est le devenir de leurs enfants qui figure au centre de leur projet d'immigration. Elles sont prêtes, je l'ai souvent constaté, à tous les sacrifices pour que « leurs enfants réussissent » ou à tout le moins trouvent leur place dans la société française malgré les conditions difficiles et les nombreux risques auxquels ils sont confrontés en grandissant dans la pauvreté. |
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Elsa Lagier, ATER, Laboratoire « Cultures et sociétés en Europe », Université de Strasbourg |
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Les parcours et les motivations à la migration sont multiples. Mais au-delà de cette diversité, le départ des migrants de leur pays d'origine s'inscrit bien souvent dans un projet d'amélioration de leurs conditions de vie (fuir un pays en guerre, avoir un meilleur salaire, accéder aux politiques publiques de santé et d'éducation...). Ce projet, avec les représentations qui l'accompagnent, est souvent contrarié par une arrivée difficile en France qui modifie les attentes et les perspectives de réussite sociale. Les migrants installés de façon définitive en France tendent alors à reconstruire les représentations qu'ils se font de leur réussite. De plus, leurs enfants, qui participent largement du choix d'une installation en France, sont alors fortement encouragés à valider le projet migratoire originel de leurs parents : « réussir ». |
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Les Cordées de la réussite ont pour objectif d'aider les élèves motivés, issus de quartiers défavorisés, à intégrer une filière d'excellence en levant les obstacles psychologiques et culturels. Elles créent un partenariat entre des établissements d'enseignement supérieur et des lycées situés dans des quartiers prioritaires et dans les petites villes et se traduisent par la mise en oeuvre d'actions multiples : tutorat, accompagnement académique et scolaire, accompagnement culturel, internat ou hébergement, aides diverses. |
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L'alternance se développe, notamment à l'Université, et peut faciliter la poursuite des étudiants en leur donnant la possibilité de subvenir à leurs besoins. Mais l'analyse des profils des apprentis permet-elle de dire que l'apprentissage représente un facteur d'ascension sociale ? |
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D-Clic Vocation est un projet qui vise à conduire davantage de collégiens et lycéens des zones urbaines sensibles vers une orientation positive, ambitieuse et choisie, en leur faisant rencontrer des professionnels, étudiants et enseignants de différentes filières et en mettant en place du tutorat. |
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16h-16h30 |
Pause |
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L'objectif de cette table ronde est de mener une réflexion sur les actions mises en œuvre dans le cadre de politiques publiques en vue de réduire les inégalités face aux conditions d'accès à l'ascension sociale. Deux aspects seront abordés : les inégalités relatives au genre et au territoire. Chaque intervenant prendra successivement la parole durant cinq minutes afin de présenter son organisation, les réflexions et/ou les initiatives menées dans le cadre des politiques de réduction des inégalités. La seconde partie de la table ronde sera consacrée à une discussion entre les intervenants puis avec les participants. |
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Nassira Hedjerassi, Professeure des Universités, CIREL-PROFEOR, Université de Lille 3 |
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